Les fortes chaleurs font craindre une nouvelle série d’ouvertures sauvages de bouches à incendie. Une pratique illégale et dangereuse contre laquelle tentent de lutter les pouvoirs publics.

Des geysers d’eau, sous lesquels des enfants et adolescents s’égayent, des rues transformées en pataugeoire et des milliers de mètres cubes d’eau qui disparaissent dans les caniveaux… Avec le pic de chaleur annoncé pour ce lundi — Météo France prévoit jusqu’à 38 °C en région parisienne — les pouvoirs publics redoutent que le phénomène de « street pooling », littéralement « piscine de rue », ne réapparaisse.