Caroline Margeridon fâchée avec sa mère : « Elle m’a laissé 8 millions de dettes ! »

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Caroline Margeridon s’est confiée à coeur ouvert à Gala sur son enfance et ses relations conflictuelles avec ses parents et plus particulièrement sa mère, qu’elle a refusé de voir pendant des années et jusqu’à son dernier souffle.

Si Caroline Margeridon a le sourire dans Affaire Conclue sur France 2, elle garde en elle des douleurs liées à l’enfance. Dans une interview accordée au magazine Gala ce jeudi, l’antiquaire de Saint-Ouen qui a participé à Fort Boyard diffusé samedi 20 août sur France 2 raconte pourquoi elle a longtemps été fâché avec sa mère. Caroline Margeridon a raconté avoir quitté le domicile familial à 15 ans. Elle a immédiatement pris ses distances avec ses parents et ne les a plus revus à l’âge de 22 ans… jusqu’à leur mort. « Ma mère est morte il y a un an, a-t-elle confié au magazine. La dernière fois que je l’ai vue, j’avais 22 ans – et je vais en avoir 56. »

Dans son enfance, Caroline Margeridon a pourtant passé de nombreux moments avec sa mère. « J’étais collée à elle, comme une moule à son rocher et j’ai arrêté l’école pour la suivre sur les marchés. » Mais aussi des moments dans la tourmente. « Elle était joueuse, comme sa propre mère. Je me suis retrouvée avec 8 millions de dettes pour lui éviter la banqueroute… Un jour, il a fallu que je coupe le cordon. »

Caroline Margeridon : « Je ne sais pas pardonner »

À la maison, l’ambiance est conflictuelle. « A l’extérieur, on passait pour la famille idéale avec les Jaguar, la maison à Deauville, les chevaux de polo, mais à la maison, c’était l’enfers’est souvenue Caroline MargeridonMon seul souvenir d’enfance, c’est quand je m’enfermais dans ma chambre pour ne plus entendre leurs disputes incessantes. C’est peut-être pourquoi dès le début, je n’ai pas aimé mon père.« 

Jusqu’au dernier moment, la star d’Affaire Conclue aura refusé de renouer avec sa mère. « Ma mère a demandé à me voir avant de mourir, comme mon père deux ans plus tôt, j’ai refusé, a-t-elle raconté, sans tabou.Je ne sais pas pardonner. » Et de conclure : « Quand je suis partie, je n’ai jamais demandé un centime à mes parents. Et quand ils sont morts, je n’ai pas voulu entendre parler de leur héritage. Je n’ai rien voulu. » Jamais, elle n’aura souhaité renoué.

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